Le Cycle de Taramanda

Ce cycle de romans épiques se situe à la frontière des genres, entre imaginaire et mythologie. Il est situé dans un monde fictif, métaphore du nôtre, dont les paysages sont largement imprégnés de la beauté méditerranéenne. 

« Le bruit des vagues qui se brisaient en heurtant les calanques se confondait avec la subtile musique des jardins dont l’écho se perdait au large. Le vent emplissait les poumons d’un air iodé. La ville, au loin à l’intérieur des terres, diffusait une lumière mélancolique. »

L’île merveilleuse d’Atlantide y a conquis sa suprématie sur les autres peuples. Elle devient la capitale d’un vaste empire appelé Taramanda, « toutes les îles » en atlante ancien, sur lequel règne une impératrice.

Seule l’île Hécate, tantôt alliée, tantôt ennemie, échappe à son contrôle absolu. Dans cette antiquité fictive, le dieu unique est une déesse, les souverains sont des femmes et l’homme est réputé être la cause du péché originel. (Voir L’empire de Taramanda, son histoire, ses divinités…)

Au milieu de ces luttes de pouvoir, la vie est un combat de tous les instants. Maxime, issu de la famille impériale, et Selena, enfant du peuple, tenteront ensemble de réaliser leurs rêves d’égalité, malgré les jalousies et les complots qui les entourent. L’Atlantide immergée, elle, demeurera pour le reste du monde le rêve d’une civilisation en plein progrès, objet d’une quête fabuleuse pour la construction d’une nouvelle société face au pouvoir de la cruelle Edwige l’empoisonneuse, reine des Amazones…